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Une espèce très particulière de crocodile, dont l'éminente spécialiste Shayna nous apprend qu’au-delà de sa couleur verte tout à fait normale pour un tel animal, il possède en revanche l’apparence improbable d’un… croque-monsieur. Ce qui lui est bien utile pour attirer des proies. Tout comme à sa femelle, dotée d'une sorte d'œuf au plat en trompe-l'œil et très naturellement appelée… "croc-madame-codile".
Une créature que la brillante zoologiste Sarah a très bien décrite, en insistant sur le fait qu'elle ne mord pas les gens mais - particularité notable pour une espèce réputée amatrice de sang frais - qu'elle plonge plutôt depuis le ciel pour croquer d'un coup sec les sucreries que les enfants récoltent le soir d'Halloween. Chauve-qui-peut, donc.
Doté d'oreilles-nageoires et d'une large queue de baleine, cet éléphant, à la fois terrestre et marin, a été récemment signalé par la grande exploratrice Océane. Le plus remarquable à son sujet reste sa propension à "souffler" comme le ferait un cétacé. Un effet "douche tropicale" particulièrement appréciable lors des grandes canicules.
Répertorié par la célèbre entomologiste Cléo, cet insecte, à l’instinct maternel très développé, possède une faculté peu commune dans le règne animal : celle de cuire les aliments dans son corps, ou de réchauffer un biberon en à peine quelques secondes. Et quand c’est prêt, elle émet un petit « ding » à la sonorité caractéristique, pour appeler et nourrir ses petits.
Longtemps nommé "poulpe fiction" par ceux qui refusaient de croire à son existence, cet animal galactique a été récemment repéré par l'astrobiologiste Elise. Depuis, on murmure qu'il mériterait plutôt le nom de "calamar grillé", vu sa propension à s'exposer sans retenue aux rayons du premier soleil venu, qui le font virer au pourpre. Car oui, la space pieuvre bronze comme un Anglais et devrait constituer, pour nous tous, un bel avertissement en matière d'UV.
Véritable éponge, cette grenouille, selon Maëliss, serait capable d'absorber jusqu’à 20 fois son poids en eau. Ce qui lui permettrait de survivre dans les zones les plus arides et la rendrait infiniment précieuse aux voyageurs les plus aventuriers. Car au beau milieu du désert, inutile d'espérer un jus de fruits ; alors qu’une grenonge pressée, c’est tout à fait envisageable.
Mi kangourou, mi écureuil, le kangoureuil nous prouve que la nature est décidément bien faite : car posséder une poche ventrale de kangourou est infiniment pratique quand il s'agit de ramasser une grande quantité de glands et noisettes en prévision de l'hiver. C'est en tout cas que nous certifie l'éminente spécialiste des animaux de la forêt, Emilie.
A en croire la zoologiste Laetitia, qui en a elle-même fait la douloureuse expérience, ce petit animal sait se défendre contre les importuns. Il suffit d'ailleurs de marcher dessus malencontreusement, les pieds nus, pour immédiatement saisir pourquoi le keskipik est aussi appelé "Aye-Aye-Aye", voire "Ouille-ouille-ouille".
Selon Clément, plus grand spécialiste mondial des cochons sauvages, celui-ci possède le don de s’auto-plier de mille manières. Ainsi le porc igami saura se transformer en fleur, en navire ou même en chapeau de Napoléon. Ce qui lui est très utile pour se dérober au regard des prédateurs, il faut bien le dire.
Si la nature a doté d'un excellent camouflage un grand nombre d'animaux, comme le méoukilé ou bien la vachinvisible - dont les bouses sont malheureusement indétectables par les randonneurs avant de poser le pied dessus - on ne peut dire, en revanche, qu'il en va de même pour cette souris, repérable à des km par ses prédateurs, le renard à gyrophare et le faucon discute. Ce qui explique sans doute, comme le pense la zoologiste Elise, pourquoi elle court en permanence.
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